L’app affichait tout le catalogue sur l’écran d’accueil, saturant l’attention et rendant les actions prioritaires difficiles à atteindre. La lecture vidéo manquait de fluidité, pénalisant l’un des gestes centraux du produit. Résultat : les apprenants perdaient du temps à retrouver leur progression, interrompaient plus souvent leurs sessions et complétaient moins leurs modules.

Côté business, le mobile était un levier clé de croissance : augmenter la complétion signifiait améliorer la valeur perçue, renforcer la rétention et démontrer l’efficacité pédagogique de la plateforme. Mais sans repenser la structure de l’app, l’introduction des nouveaux contenus risquait d’empirer la dette produit et de créer des incohérences d’usage.